Récit du Vieux Royaume, Gagner la guerre, Jean-Philippe Jaworski, Gallimard. Et tu m’as donné envie d’arriver à la fin, qui semble être mémorable ! Du moins de mon point de vue (vaguement) divergent, que, dans mon outrecuidance, je m’autorise à avoir, non mais ! Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: Vous commentez à lâaide de votre compte WordPress.com. Le seul point ou je serais peut être en désaccord est sur la question du style et sur le fait qu’il créerait une certaine distance entre le lecteur et le récit. Merci ! Oui, l’auteur mérite d’être découvert. ( Déconnexion / C’est parfois compliqué à suivre, mais c’est vraiment très intéressant ! Il était impossible d’espérer gagner cette guerre. Très intéressante ta chronique, et très juste je pense, c’est bien de rappeler que Jaworski c’est pas juste une écriture pleine de gouaille (d’ailleurs tous ses livres ne sont pas comme ça). Et sur certains de ces plans, on sent bien qu’il s’agit d’un premier roman : – Le rythme (et parfois l’intérêt ressenti) est très inégal, sans doute trop. Bref, on regarde l’arbre, pas la forêt derrière. Mais rien ne les empêchera de lire le premier tome par la suite, lorsqu’ils auront été conquis par la force, le suspense, le dépaysement, les intrigues et la magie de ce tome 2. Bref, un peu de sérieux : même sans parler du caractère explicite ou sombre de la chose, une Fantasy Historique inspirée essentiellement par les intrigues de Cour italiennes de la Renaissance ne peut tout simplement pas faire l’impasse sur le coup de dague dans le dos, le poison, les manigances et j’en passe, ce serait complètement irréaliste. Une des règles les plus basiques de l’écriture est qu’un texte n’est parfait que lorsqu’on ne peut plus rien y enlever de superflu ou de nuisible. Je suis par ailleurs en train de lire la » trilogie en 5 volumes » :), sur nos Celtes. Je n’ai pas ressenti de longueur comme certains. Il y avait donc une forte pression dans le pays pour y mettre fin. La trilogie en 12 volumes sur les celtes est aussi très bien. Ceci étant dit, je ne m’offusque pas : cela s’intègre au personnage, à l’histoire, au sous-genre. Ping : Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski – L'épaule d'Orion, Ping : Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski : ma critique en retard (d’une guerre) – Journal d'un Curieux, Ping : Gagner la Guerre – Jean-Philippe Jaworski | Les Lectures de Xapur. Je reste cependant adepte de l’auteur et continu ma lecture avec plaisir. Après, je le redis, c’est Les rois du monde qui m’a vraiment conquis chez le monsieur, même si je râle sur ce découpage « foutage de gueule ». Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction . Il y a un peu trop de maladresses ou de termes abscons dans ce (premier, il faut se le rappeler) roman pour que j’encense l’auteur ou son livre. On reconnaît au moins quelques éléments d’inspiration dans ces pays, que ce soit via leur nom, le physique de leurs habitants ou leurs différences culturelles avec Ciudalia : il est, par exemple, tentant d’assimiler l’Ouromagne aux terres germaniques, et de voir dans la Marche Franche une éventuelle Savoie, Suisse ou Franche-Comté. Mais la composante manquante ici, c’est cette énorme pression de l'opinion publique anti-guerre. Il a plus qu’à moitié accepté de laisser Sassanos lui laver le cerveau⦠Ducatore s’il est très intelligent fait néanmoins des erreurs d’appréciation et son mépris des femmes en est une. Cette nouvelle se situe chronologiquement avant les événements décrits dans Gagner la guerre, et… Pour le coup, je te conseille vraiment Rois du monde, c’est totalement différent de ce que j’ai déjà pu lire sur le sujet. Le credo du Culte d’Apophis, c’est d’être à la pointe, c’est-à -dire de vous proposer des critiques des nouveautés en VF alors que l’encre n’a pas encore fini de sécher, de vous faire découvrir la vraie actualité de la Fantasy (et de la SF) en VO (en allant largement au-delà des sentiers battus et des auteurs bankables, hein), et de vous faire redécouvrir de bons livres oubliés pour une raison x ou y. Bref, il ne consiste pas à vous proposer une recension sur un livre qu’en gros, 90 à 95 % d’entre vous auront déjà lu. C’est un joueur de jeu de rôle et maitre de jeu et cela se voit dans ses écrits. The A(pophis)-Files â épisode 2 : le vaisseau spatial – véhicule, symbole, décor, élément d’intrigue… personnage ! Ah, si, en y repensant : j’ai été un poil dérangé par la réaction de Benvenuto, que j’appréciais particulièrement, auprès de la Clarissima. Lorsque ce type de phénomène se produit, les causes peuvent être multiples : l’intrigue peut être trop violente ou sombre pour certains, le livre peut trop sortir des codes auxquels est habitué le grand public, les personnages peuvent générer une forte empathie chez certains et aucune chez d’autres, etc. Mais je me suis résigné ! En Mai 2018, paraissait Ciudalia, le premier tome de l’adaptation en BD par Frédéric Genêt du roman de fantasy Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski. Gagner la guerre, tome 1 : Ciudalia de Frédéric Genêt et Jean-Philippe Jaworski Vous pouvez copier ce code html en fin d'article de blog, ça affichera un logo livraddict qui fera office de … Blabla, blabla…… C’est bon j’arrete , je ne vais pas vous faire ressentir ce que j’ai ressenti en lisant ce livre non plus.) J’ai, à titre personnel, un autre problème : je trouve franchement réducteur de qualifier un auteur de génie littéraire juste parce qu’il a une maîtrise très élevée du vocabulaire et qu’il sait forger un texte élégant. Finalement, je ne suis guère déçue par ta critique. Le temps faisant son oeuvre, puisque je l’ai lu un certain moment déjà , et les impressions du moment laissant la place aux impressions durables, ce livre a fini par se glisser dans mon panthéon personnel, aux côtés dâÅuvres comme Dune, Hypérion, etc…, pas moins que ça ! Pour être très précis, ce qui divise les lecteurs de Gagner la guerre est le style de Jean-Philippe Jaworski : pour ses admirateurs, auteurs de critiques dithyrambiques, il est digne d’éloges en raison du niveau de langage élevé utilisé et de l’élégance des tournures de phrase employées ; pour ses détracteurs, en revanche, ledit style est caractérisé par son côté pompeux (en même temps, un bouquin de Fantasy qui cite Yourcenar et Sartre…), m’as-tu-lu, pédant, élitiste, lourd, alambiqué, parfois abscons, et j’en passe. Gagner La Guerre est un livre flamboyant : Tout est réussi dans cette œuvre. Free shipping .... Gagner une guerre, c'est bien joli, mais quand il faut partager le. Hélas ! Je n’ai plus qu’à attendre qu’elle me le prête ð, J’ai eu la chance d’assister à des conférences de M.Jaworski et il a une culture et une facilité de parler hallucinantes. Tous l'univers Gagner la guerre à la fnac : découvrez tous les produits, les actus et les avis. Merci de me soutenir en prenant votre Premium UPLOADED !Gag.gue.2.cbr*Bonne lectureGagner la Guerre - Tome 2 - … Améliorer votre processus de recrutement au Luxembourg. Parmi toutes les qualités que je trouve à ce roman, il y a cet effort fait de varier le langage en fonction des personnages et des milieux croisés. Devant autant à la sainte trinité (Essence / Channeling / Mentalism) de Rolemaster qu’à l’Hermétisme médiéval, à l’imagination pure qu’à une tradition ésotérique bien réelle, ce paradigme arcane charme et impressionne tout à la fois : magie basse, haute ou vive, des rêves, des miroirs ou des éléments (celle des Tempestaires), Nécromancie, il y en a pour tous les goûts. En comparaison, puisque celle-ci s’impose, parmi les critiques que je faisais des Salauds Gentilshommes il y avait l’uniformité du langage à travers les strates de la société qui n’est pas crédible. Entrez votre adresse mail pour suivre ce blog et être notifié par email des nouvelles publications. Tu soulignes que le simple fait d’avoir du vocabulaire et du style ne suffit pas à faire un bon écrivain, mais c’est déjà beaucoup ! Ce livre vous intéresse, vous êtes client dâAmazon et souhaitez soutenir le blog ? Ma note: 16/20. J’ajouterais (mais c’est plus personnel qu’un défaut incontestable, consensuel) que j’ai eu moins de facilité à m’immerger dans ce livre que dans le premier tome des Salauds Gentilshommes, qui offre pourtant un univers et un protagoniste relativement proches. Gagner la Guerre fait suite à la nouvelle Mauvaise donne du recueil Janua Vera, publié deux ans plus tôt. N’est-ce pas le principal? Je crois que Gagner la guerre est le seul livre que je déteste. Ciudalia , premier tome de cette ambitieuse adaptation en BD , constitue précisément l'adaptation de Mauvaise donne , première nouvelle mettant en scène Benvenuto Gesufal, publiée dans le recueil Janua Vera . Le style doit s’effacer devant l’histoire, pas la masquer…. Au milieu des innombrables thuriféraires de Jaworski et de ses quelques détracteurs, il est bon de lire un avis comme le tien, à la fois enthousiaste et nuancé… Sur lequel j’ai d’autant moins à redire que je le partage totalement. Bref, j’ai envie de dire : avoir du style, c’est bien, mais point trop n’en faut ! Il s’agit d’une crise de santé publique sans précédent de mémoire – Il y a des maladresses parfois assez conséquentes, comme le long passage argotique chez le marchand de tissus, du mauvais côté de la limite de l’abscons, ou la description de la ville vue des toits… en plein milieu d’une poursuite haletante et pleine de tension (on pourrait aussi dire la même chose de la description des Åuvres d’art, du mobilier et des tapisseries au beau milieu de l’incendie final). Nous devons faire preuve d'une unité de but et travailler collectivement pour mener et gagner la guerre contre le COVID-19. Vu que vous êtes plusieurs à me parler de Janua Vera, je viens de l’insérer dans le programme : il sera donc lu en Mai prochain. Je me suis vraiment ennuyé mais l’ai quand même fini pour voir si…mais rien. Ping : Fantasy non-médiévale / d’inspiration extra-européenne / aux thématiques sociétales | Le culte d'Apophis, Ping : La marche du Levant – Léafar Izen | Le culte d'Apophis, Ping : Gagner la guerre – Fourbis & Têtologie. Pour moi aussi « Gagner la guerre » a été une lecture 4 étoiles et non 5, pour autant que je m’en souvienne, à cause des grosses baisses de rythme et des longueurs que tu prends soin de souligner. * Battery (version live avec orchestre symphonique), Metallica, 1999. L’auteur s’est perdu et se regarde ecrire, c’est dommage. Je l ‘ai lu comme on boit une bière bien fraiche en été. ( Déconnexion / Ah ben si en plus tu le possèdes déjà , là , tu n’as plus d’excuse ð. Pour terminer sur ce chapitre, il ne faut surtout pas oublier ce qui est peut-être le plus important des personnages : la ville elle-même. Il y a aussi un problème plus insidieux, qui fait, paradoxalement, consensus aussi bien parmi les adeptes qu’au sein des sycophantes, mais sans que l’écrasante majorité d’entre eux n’en aient conscience : tous sont unanimes sur le fait que Jaworski a beaucoup de style, qu’il a un style, qu’il a son style. Trop d'attentes, trop d'émotions. D’ailleurs, j’ai fait, au cours de ma lecture, certains parallèles avec Kay, notamment dans une certaine nonchalance dans la narration, l’importance donnée à l’art dans l’intrigue et le soin extrême apporté aux personnages, puisque même ceux de troisième plan ont une âme, ne sont pas des pantins. J’espère que tu liras Janua Vera un jour (pour le coup y’a plus de variété dans les styles et types de récits). Je ne suis, notamment, pas persuadé que si l’auteur était anglo-saxon, certaines critiques auraient été aussi dithyrambiques (ou aurait plus parlé de solide premier roman et d’auteur prometteur que d’autre chose). Pierre Préaud et Agnès Bazin, en charge de ce sujet à la Fédération nationale des courses hippiques, en détaillent les grands axes. Ils m’ont rappelé le mauvais garçon, noceur, coureur de jupons et buveur, d’un des plus fameux Livres dont vous êtes le héros, La créature venue du Chaos, ce qui ne serait d’ailleurs guère étonnant compte tenu du passé de l’auteur en matière de Jeu de rôle. C’est le préambule de Gagner la Guerre et sa lecture est essentielle pour comprendre de nombreuses références dans le roman. Belle critique, nuancée qui me donne envie de me lancer dans ce bon pavé (quand je trouverai le bon créneau). Gagner la Guerre - Tome 2 - Le Royaume de RessineGagner la Guerre - Tome 2 - Le Royaume de RessineFrench | CBR | 52 pages | 30.9 MBveuillez signaler tous les liens mots. L’écriture ne se résume pas à cela : elle se compose aussi de la maîtrise du rythme, des dialogues, de la caractérisation des personnages, de la faculté d’établir une connexion empathique entre eux et le lecteur, de celle de bâtir un univers cohérent, vivant et intéressant, et ainsi de suite. GENÈVE/LONDRES/NEW YORK – Pendant que le monde se mobilise pour remporter la bataille contre le COVID-19, nous ne devons pas oublier que nous menons toujours une guerre contre les décès évitables d'enfants et de mères – une guerre que les dirigeants mondiaux se sont engagés à gagner d'ici 2030. Nous voilà maintenant dans le coeur de Gagner la guerre (le tome 1 étant tiré de Janua Vera).Benvenuto est parti pour le royaume de Ressine pour négocier avec le Shah. Et c’est d’autant plus intéressant que le protagoniste va douter pratiquement jusqu’au bout des personnes qui cherchent à obtenir sa confiance, tant la plupart des puissants qu’il sert, auxquels il est associé ou opposé jouent un double, voire un triple jeu. * Love the way you hate me, Like a storm. C’est clair ! C’est une richesse. Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com. 27 sept. 2017 - Découvrez le tableau "gagner la guerre" de Vets sur Pinterest. J’attendais vraiment cette critique avec impatience! Sérieusement, Ciudalia me manque et cela fait quelques temps que j’envisage de relire Gagner la Guerre histoire d’aller à nouveau grincer des dents chez le Podestat. Couverture de Gagner la Guerre des éditions Les Moutons Ãlectriques, Publié aux éditions Les moutons électriques, en 2009, Gagner la Guerre de Jean-Philippe Jaworski décape tant il fait preuve dâoriginalité tout en maniant un style que lâon nâespérait plus trouver aujourdâhui, tant il ne répond plus aux critères de rentabilité.Â. Il a obtenu de ta part un 4/5 et une chronique constructive! Le seul point faible que je perçois, c’est que certains points de l’intrigue sont prévisibles -Falci, notamment, pour ne pas le nommer-. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Simplement, je ne crie pas au génie, ou du moins pas sur tous les plans. Rédacteur en chef de la revue Accattone et président du Cercle des Patriotes Disparus. Les Etats-Unis ne pouvaient pas gagner la guerre. Attention toutefois, l’auteur a gardé l’esprit de Venise sans forcément en conserver la lettre : de ce point de vue, la Camorr de Lynch est plus proche de leur modèle commun, car Ciudalia n’a pas de canaux. Si vous souhaitez avoir d’autres avis sur ce roman, je vous conseille la lecture des critiques suivantes : celle de l’Ours inculte, de Dionysos sur le Bibliocosme, de Boudicca sur le même blog, de Lorhkan, de L’épaule d’Orion, du Journal d’un curieux, de Xapur, de Fourbis et Têtologie, de Tachan. : elle est exceptionnelle, il n’y a pas d’autre mot. C’est un bon moyen de rentrer dans le récit, d’ailleurs je conseillerai de commencer par Mauvaise Donne ou par la BD, histoire de lire tout ça dans l’ordre. Cela me paraît vraiment volumineux. Prix "imaginales" en 2009, Gagner la Guerre est le fidèle prologue en BD du roman. « Gagner des batailles n’est pas gagner la guerre » Par X. F. - 08 févr. Ainsi, Gagner la Guerre fait suite à cette mise en bouche. Après, il ya plusieurs mois que j’ai lu ce -très gros- roman, et je me souviens avec une grande netteté de certaines scènes (l’évasion par les toits étant un summum) comme le début dans les geoles des bateaux,ce qui démontre la qualité d el’écriture et l’impact de son univers mais je suis vraiment restée sur ma faim au terme de ces 680 pages et c’est dommage… ». La fin… ah mes amis, quelle conclusion ! Certaines provinces situées aux extrémités de ce vaste espace géopolitique ont perdu contact depuis des siècles, et leur sort est l’objet de conjectures, voire de légendes. Voilà une critique que nous étions nombreux à attendre de pied ferme ! Changer ), Vous commentez à lâaide de votre compte Facebook. Remarquons au passage que voir un système politique qui n’est pas une monarchie en Fantasy est fort agréable, et que même si le très gros de l’inspiration est italien, il y a quelques touches espagnoles également (les alguazil, par exemple, ou même le nom de la ville, qui fait plus ibérique qu’italien). J’avoue ne pas comprendre l’adoration des gens pour Gagner la guerre, certes très solide, mais de mon point de vue c’est l’empathie qui a manqué tout le long, en faisant un roman… très froid…. La seule critique que ses détracteurs pourraient peut-être émettre à lâencontre du roman de Jaworski ; une certaine forme dâélitisme stylistique et scénaristique vis-à -vis de ce que produit lâoligopole éditorial. Mais quel premier roman. Les innovations de la Première Guerre mondiale Gagner la « guerre des talents » avec le référencement naturel (SEO). Avec la reconnaissance des USA de la Marocanite de son Sahara le Maroc s’est libéré de cette pression diplomatique qui bloque son élan. Pas de beaucoup, mais il l’est. Bref, Jaworski est un écrivain globalement très solide (particulièrement par rapport à ses petits camarades francophones), et c’est déjà pas mal. Ah mais c’est chouette tout ça ! Tu as parfaitement raison de souligner le registre de langage à géométrie variable selon la classe sociale des interlocuteurs, c’est effectivement une force du roman sur laquelle je n’ai pas assez insisté dans ma critique. Jean-Philippe Jaworski met sur pied un système plutôt solide, jouant à un jeu d’ombre et de lumière avec le lecteur en en dévoilant assez pour être pertinent tout en laissant une part de mystère ma foi pas désagréable (pas de ce « ta gueule, c’est magique ! Je voudrais insister sur le côté très travaillé des personnages (mais voyez plus loin tout de même) que j’ai déjà évoqué : vous vous doutez bien que si les figurants sont soignés, les personnages principaux tutoient, pour certains, le sublime : Benvenuto, bien sûr, mais aussi Sassanos ou le Podestat sont un régal de nuances, de subtilité, de solidité. Toutefois, je reste convaincu que la suite nous réservera de belles émotions. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Gagner la guerre fait partie de ces livres très polarisants, qui ne génèrent que deux types de réactions : on aime, voire (souvent dans ce cas précis) on encense, ou on déteste (voire, ici, on vomit). Changer ), Vous commentez à lâaide de votre compte Twitter. L’enfoiré ! Ce qui différencie ces livres, c’est la façon dont ce contexte très particulier, avec ses intrigues de Cour et ses assassinats politiques, son atmosphère très spéciale et son raffinement extrême, est rendu : cela va du niveau « carton-pâte » (cycle L’archipel des Numinées, par Charlotte Bousquet) à l' »Hollywoodien mais finalement pas si mal » (Lynch), en passant évidemment par Kay et sa précision relevant quasiment d’un vrai roman Historique. De plus, comme on lâa déjà dit, le style de Jaworski rend la lecture si agréable que lâon perd toute notion du temps. J’ai bien aimé la truculence de notre ami Benvenuto. J’en fais partie, mais ne me précipite pas vers les nouveaux tomes pour cette raison. L’Italie de la Renaissance revue au travers d’un prisme Fantasy est un contexte finalement assez courant en Fantasy (Historique), et d’autres l’ont employé avant Jean-Philippe Jaworski, notamment Scott Lynch et bien entendu le pape du genre, Guy Gavriel Kay (dans Tigane). Le cas Jaworski est compliqué, il est dressé comme un modèle de fantasy made in france mais pour moi c’est pas non plus le parfait « best of the best ».
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